23 avril 2011
Une écharpe et un feutre...
Cher Jean, Je me permets de vous déranger dans votre éternel sommeil, au fond de ce panthéon où je ne crois pas que vous eussiez jamais pensé reposer un jour... Je suis, comme beaucoup d’entre nous, très admirative de votre parcours d’homme, de la volonté...